2 avril 2018
La déclaration AGESSA
Ce week-end, je me suis acquitté d'une corvée annuelle, et rituelle pour un écrivain : remplir la déclaration à l'AGESSA. Vous savez : photocopies, stylo, etc.
J'avoue que cette étape me laisse chaque année un sentiment contrasté. D'un côté, il s'agit bien d'une corvée, ennuyeuse et fastidieuse. On est soulagé quand on s'en est débarrassé. D'un autre, il s'agit quand même d'un moment positif. Parce que, si on doit remplir ça, c'est la preuve matérielle qu'on est réellement un écrivain, et non pas un doux rêveur.
On devrait donc s'en réjouir ? Bah, comme tout dans la vie, il y a deux versants aux choses. En tout cas, c'est fait, jusqu'à l'année prochaine.
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